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1926 Natural Vision
1929 Grandeur
1930 Magnifilm
1930 Realife
1930 Vitascope
1952 Cinerama
1953 CinemaScope
1953 Panavison
1954 VistaVision
1955 Todd-AO
1955 Circle Vision 360
1956 CinemaScope 55
1957 Ultra Panavision 70
1958 Cinemiracle
1958 Kinopanorama
1959 Super Panavision 70
1959 Super Technirama 70
1960 Smell-O-Vision
1961 Sovscope 70
1962
Cinerama 360
1962 MCS-70
1963 70mm Blow Up
1963 Circarama
1963 Circlorama
1966 Dimension 150
1966
Stereo-70
1967 DEFA 70
1967 Pik-A-Movie
1970 IMAX / Omnimax
1974 Cinema 180
1974 SENSURROUND
1976 Dolby Stereo
1984 Showscan
1984 Swissorama
1986 iWERKS
1989 ARRI 765
1990 CDS
1994 DTS / Datasat
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En Conversation Avec François Carrin

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Written by: Martial DASSONVILLE | Photos Frédéric ROLLAND & Daniel NAJBERG. Date: 16.05.2016
François CARRIN. S’intéresser à l’écran large, au triple écran, avoir été projectionniste et avoir fréquenté ces installations un peu hors normes, ce n’est pas courant à l’ALICC. François nous explique donc son CINEMA PARADISIO personnel.

Martial DASSONVILLE:
Ton plus lointain souvenir cinématographique ou ton premier film…

François CARRIN:
Je vais avoir 70 printemps ce mois-ci mais curieusement je m’en souviens comme si c’était hier ! Donc en Décembre 1950, découverte du cinéma à Valenciennes avec CENDRILLON de Walt DISNEY au cinéma EDEN, reconstruit en provisoire après la guerre mais confortable et bien agencé – projection sans plongée ! La salle a disparu depuis. Le court métrage qui accompagnait le film était le fameux LA VALLEE DES CASTORS (BEAVER VALLEY) second film de la série C’EST LA VIE*. Nous sommes entrés pendant une scène où les loutres dévalent une pente enneigée et ma mère avait toujours en mémoire le fait que j’étais comme paralysé d’étonnement de voir que cela « bougeait » !!! Ce n’était ni de la photo ni de la diapo, c’était la vie sur l’écran. Le second souvenir marquant mais que je ne pouvais pas expliquer vu mon très jeune âge, les fondus simples et enchaînés TECHNICOLOR**.

M. D.
Suite à cette découverte qu’est-ce qui a motivé ton intérêt pour le 7ème Art…

F. C.
J’ai grandi jusqu’à 1956 à côté d’une ancienne salle de bal qui fut transformée en cinéma en 1952 si mes souvenirs sont exacts. Mes parents, très stricts sur le choix des films, ne toléraient pas que je vois un polar, encore moins un film plus ou moins sensuel. A la rigueur, un western… Bref le principal de mes nourritures cinématographiques c’était les DISNEY, les grands documentaires etc… Aussi quand j’entrais dans une salle de cinéma c’était un peu un lieu féerique et déjà à l’époque il m’arrivait souvent de me retourner vers la petite fenêtre percée dans le mur du fond d’où sortait un faisceau lumineux magique.
 
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Vue générale de la salle

M. D.
Ton premier projecteur…

F. C.
Mon père, médecin généraliste, avait un confrère équipé à l’époque d’une Paillard-Bolex H8 et d’un Revere P85, un engin qui avait de la « gueule ». Il est vrai qu’à l’époque on pratiquait le 8mm haut de gamme plutôt dans les classes aisées que laborieuses. Ce projecteur m’avait toujours fasciné et j’en ai acquis un dans les années 90, toujours en état de marche. C’est d’ailleurs une machine que l’on trouve facilement sur le marché des collectionneurs. Quant à moi il a fallu attendre Noël 1963 pour que je décide mon père à acheter du matériel 8mm, une caméra Kodak Brownie à cellule incorporée et un projecteur Eumig P8 Phonomatic (une belle m. !).

M. D.
Ta passion pour la technique cinématographique proprement dite…

F. C.
En septembre 1958 j’avais vu le CIRCARAMA W. DISNEY au pavillon US de l’Expo de Bruxelles puis un an plus tard ce fut la découverte du CINERAMA à l’EMPIRE avenue de Wagram. Le programme était composé du travelogue LES SEPT MERVEILLES DU MONDE accompagné de la fameuse et unique pub CINERAMA sur la Dauphine Renault. Un émerveillement ! Je pense que c’est à cette occasion que mon goût pour la technique cinématographique s’est développé ; mais la technique du triple écran, c’était relativement inaccessible pour un petit provincial. Cultivant l’adage « Faute de grives on mange des merles » je me consolais avec le cinéma local et les quelques belles salles de Valenciennes. Jusqu’en Février 1962*** avec la réouverture de l’EMPIRE reconstruit et la découverte du 70mm au BERLITZ (LES REVOLTES DU BOUNTY) et au GEORGE V (WEST SIDE STORY).

En sus je découvris le cousin soviétique, le KINOPANORAMA de Lamotte-Picquet Grenelle. C’est à mon retour dans mes terres Ch’ti que j’eus enfin l’occasion de visiter la cabine de ma salle locale et là le premier miracle se produisit. Le directeur, voyant mon intérêt manifeste pour la chose, me proposa tout simplement de monter en cabine chaque fois que le désirai et même d’apprendre le métier de projectionniste – autant demander à un aveugle s’il veut voir !!!
 
 
Tout est allé très vite ensuite. J’ai mis tellement de conscience professionnelle à apprendre la projection que j’en ai raté… mon bac ! Mais ceci est une autre histoire. S’en suivit une petite traversée du désert en 1964-1965, le service militaire, puis le retour aux études de métreuréconomiste et la reprise des projections à Quiévrechain.

Entre temps le 70mm avait débarqué à Valenciennes au cinéma NOVEAC**** dont le directeur, M. CANLER, était un aficionado de ce format. Et j’ai eu la chance de voir des dizaines de films en pellicule large dans cette salle jusqu’à sa fermeture courant 1987.

C’est alors qu’arriva le second miracle, la découverte des installations techniques de l’EMPIRE-CINERAMA et de son gérant, en Mai 1967. On passait GRAND PRIX et à l’entracte j’avisais ce Monsieur d’un abord très affable. Devant mon intérêt il se fit un devoir de m’emmener voir la cabine centrale, seule utilisée pour le 70mm. Et là, au hasard de la conversation, j’appris qu’il était originaire de ma région, qu’il connaissait la famille de mon père etc. etc… En guise de conclusion il me serra la main et me dit "M. CARRIN, vous êtes le bienvenu à chaque fois que vous le voulez dans ma salle".»***** Cerise sur le gâteau, dès lors je ne payais plusl ’entrée ; appréciable à l’époque dans le cinéma le plus cher de France !

M. D.
Pourquoi le format très large et pas le 35mm…

F.C.
Pas du tout ! J’apprécie aussi le 35mm. J’ai une splendide collection d’Actus dans ce format, ainsi que des films-annonces et des pubs. Malheureusement avec l’arrivée du numérique la source se tarit pour les deux dernières catégories. Quant au 70mm on en trouve encore sur E-bay mais c’est surtout aux USA et le prix du transport grève les budgets. De plus les copies sont souvent virées et atteintes du sinistre syndrome du vinaigre. En 35mm l’idéal est de trouver des copies modernes sur support polyester et non virées, ou les anciennes en véritable TECHNICOLOR, mais la plupart du temps elles sont très rayées.
 
 
La table de montage / rebobinage

M. D.
Ton installation personnelle…

F.C.
L’opportunité d’avoir un PHILIPS DP70 en 1995, récupéré à Clermont-Ferrand, m’a donné l’idée d’aménager une salle dans mon sous-sol, plus petite que l’actuelle, 4.30 x 4.30m et surtout hauteur sous plafond de 2.15m. Cette première installation, plus ou moins bancale, n’a jamais été complètement terminée. Ayant récupéré deux DP70 au FAMILIA de Cambrai en 2001, en meilleur état, j’ai dès lors gardé le premier comme pièces de rechanges. J’ai déménagé en Décembre 2008 et après un an de travaux divers j’ai reprise les travaux d’aménagement d’une salle – Cf. le chapitre Conseils pour aménager votre propre salle.

M.D.
Tout cela représente un investissement conséquent…

F. C.
Hélas oui ! Je compte environ 26,000 Euros pour le gros œuvre, le second œuvre et les finitions. Ne sont pas compris dans cette somme les premiers investissements, achat projecteurs (3,500 €), amplis et accessoires, et le système DOLBY : gratuit mais il a fallu aller le chercher Outre-Manche !

Concernant le choix des PHILIPS DP70, je rappelle que ces engins sont surnommés à bon escient « La Rolls des Projecteurs », qu’ils sont d’une robustesse sans pareil et toujours d’attaque après 60 ans !

M. D.
Tes activités cinématographiques indépendamment de ta salle…

F. C.
Je suis membre de l’International CINERAMA Society, une amicale qui s’efforce de perpétuer le triple écran à travers le monde. Nous sommes peu nombreux, mon copain belge Jean Pierre VERSCHEURE en fait aussi partie. Depuis 2006 j’ai intégré la Bradford Widescreen Academy. Je suis aussi membre de l’International 70mm Association, basée en Hollande et qui fait la promotion de ce format. J’ai été consultant (bénévole) pour le Widescreen Weekend de Bradford, dans le West Yorkshire, qui après des problèmes financiers aura peut-être lieu de nouveau cette année du 15 au 18/10. C’est la seule salle équipée pour le triple écran – Cf. I.C. n° 62(12/2005) p. 26 & 27. Je le suis aussi pour le TODD-AO Seminar de Krnov (Cz. Republ.) et TODD-AO Festival de Karlsruhe. Ces deux dernières salles n’étant équipées qu’en 70mm et 35. Je collabore au site www.in70mm.com basé à Copenhague. Et j’ai de nombreux correspondants et amis dans le monde – Europe, USA, Australie, pour ne citer que ceux-là.

J’ai participé à l’édition des bonus de la version restaurée DVD/Blu-ray de HOW THE WEST WAS WON avec le court métrage CINERAMA PARTOUT relatif à l’éphémère CINERAMA itinérant en France en septembre/ octobre 1961. La même opération a été réalisée l’an dernier pour la restauration du travelogue CINERAMA SEVEN WONDERS OF THE WORLD (Les Sept Merveilles du Monde), toujours dans les bonus.
 
 
François CARRIN aka Mister CINERAMA

M. D.
A combien estimes-tu le nombre de collectionneurs de 70mm en France…

F.C.
20 au grand maximum. Le chiffre exact est difficile à déterminer, certains voulant rester dans l’anonymat le plus secret. Ils sont plus nombreux à l’étranger, Allemagne et USA par exemple.

M. D.
Pour terminer, une anecdote…

F.C.
Courant 1967 la salle de Quiévrechain passe PARIS-BRULE-T-IL ? À l’époque il était de tradition dans l’industrie nordiste de ne pas travailler le lundi. D’où une séance le lundi soir quand il s’agissait d’un grand film. Ici on avait déjà passé le film depuis 10 jours et le soir en pleine semaine l’équipe était fatiguée. Bref dans la seconde partie(le film dure près de 3h) on a interverti le passage de 2 bobines. On s’en est aperçu au rebobinage avec numéros amorces/boîtes.Et bien aucun spectateur n’a réclamé ou rouspété ! A mon avis ils devaient dormir comme nous !!!
 
 

Notes

 
François et une bouteille du vignoble de Francis F. COPPOLA, cadeau de son copain Paul RAYTON, chef-op. à l’American Cinematheque de Los Angeles

* Ce film a obtenu à l’époque l’Oscar du meilleur court métrage. Cette célèbre série de W. DISNEY avait pour titre original TRUE-LIFE ADVENTURES. Par la suite DESERT VIVANT en sera l’un des plus connus.

** J’apprendrai bien plus tard que l’on appelait cela un fondu chimique, particulier au TECHNICOLOR.

*** Les hasards de la vie m’ont fait connaître et surtout apprécier les salles parisiennes de 1961 à 1963.

**** Equipé de deux projecteurs allemands FH 99 – de très belles machines !

***** Albert DUBOIS, c’est son nom, dernier directeur de salle de l’EMPIRE-CINERAMA, repose en paix à BEUVRY-LA-FORET, village entre ORCHIES(le berceau de ma famille) et STAMAND-LES-EAUX
 
 

Les deux questions que l’on me pose le plus souvent à propos de mon installation

 
Le logo du documentaire SHELLARAMA en relief François et son DP 70 droit

Pourquoi l’écran est-il si peu incurvé?


Le véritable écran CINERAMA était incurvé à 146 degrés avec 3 projecteurs dont les axes
étaient(en théorie) parfaitement perpendiculaires aux 3 écrans élémentaires. Dans ma réalisation il s’agit de rappeler le CINERAMA simplifié avec usage d’un seul projecteur central d’une part (70mm Super CINERAMA), et d’autre part de combiner le tout avec une petite largeur d’écran(4.34 m. de corde), elle-même tributaire d’une largeur de salle de 5.40 m. Les problèmes de distorsions, déjà présents dans les grandes salles, auraient été accentués ici. De plus avec une projection à courte distance en 70mm l’étalement correct et régulier de la lumière sur l’écran est un peu critique. Qu’en aurait-il été avec une curvature de 146 degrés ? D’où ce compromis qui reflète bien l’ambiance « salle CINERAMA » de l’époque (postérieure au début des années 60). D’ailleurs certains visiteurs ont appelé cela écran délicieusement incurvé !

Pourquoi toutes les inscriptions sont-elles dans la langue de Shakespeare?

1 – L’écran large (Widescreen) est avant tout une grande aventure anglo-saxonne – question de style !
2 – La plupart de mes visiteurs sont étrangers, ne parlant pas un mot de Français, mais pratiquant tous l’Anglais avec une aisance qui devrait nous faire rougir, nous les Français particulièrement chauvins – Donc vous avez tout compris !!!
 
 

Conseils Pour Amenager Votre Propre Salle De Cinema

 
La face Avant du DOLBY CP200

Dans le numéro 87 (pages 24 à 29) le président Daniel NAJBERG nous livre quelques ré-flexions sur l’aménagement de sa salle personnelle. Comme je viens de terminer la mienne, mais dans ce cas en partant d’un bâtiment au stade du gros œuvre brut (en l’occurrence mon garage), voici quelques conseils/directives qui pourront vous inspirer utilement si vous voulez suivre la même voie.

SALLE
Les murs porteurs ont l’épaisseur d’une brique (22 cm) et la cloison séparative du cellier qui lui donne accès est en carreaux de plâtre pleins(7 cm). Pour conjuguer une bonne isolation thermique avec l’acoustique toutes les parois sont doublées en LABELROCK de chez ROCKWOOL® : complexe plaque de plâtre 10mm avec laine de roche semi-rigide 40mm, le tout posé par plots de mortier-colle. Les ouvertures d’origine des deux portes de garage ont été préservées et obturées par une ossature en sapin doublée extérieurement d’une feuille de contreplaqué rainuré imitant le revêtement des portes et intérieurement par une plaque de plâtre de 10mm. L’espace entre les deux est rempli de laine de roche semi-rigide de 140mm. De cette façon il sera toujours possible plus tard de réutiliser ce local comme garage.

Le plafond (existant) est en plaques de plâtre de 13mm clouées sous charpente et isolé par laine de verre déroulée.

Murs et plafond sont recouverts de moquette aiguilletée collée, anthracite pour le plafond et noir/rouge pour les murs .

Le sol existant est un carrelage type Granito (du luxe pour un garage !) posé sur chape isolée. Après ragréage il est recouvert d’une moquette classique rouge vif. La partie arrière forme une estrade confectionnée en chevrons et panneaux de particules, surélevée de 25 cm, habillée de moquette noire et supportant 6 fauteuils de cinéma récupérés en Normandie. Pour optimiser l’isolation acoustique les panneaux des portes intérieures sont recouverts de moquette, ce qui améliore aussi l’esthétique et contribue à l’ambiance feutrée.

Le chauffage central de l’habitation étant assuré par une pompe à chaleur alimentant un circuit en serpentin sous le carrelage, une dérivation alimente deux radiateurs classiques légèrement surdimensionnés. De cette façon ils ne sont jamais «brûlants » mais tièdes et dispensent une chaleur très douce.

L’électricité a été complètement refaite et l’éclairage est constitué de deux rampes de 4 halogènes commandées par variateur électronique à allumage/extinction réglable depuis la cabine.

L’écran, 4.34m x 2.05m utiles, a été fabriqué par la maison ELZA TISSUS à Herseaux (Belgique)* qui a l’habitude de travailler pour des collectionneurs de cinéma. Monté comme un écran professionnel (tendu par œillets sur un cadre périphérique), il est constitué d’une simple toile de drap blanc**. Niveau transonore suffisant et bonne luminosité(projection avec une lampe Xénon 1000 W).
 
 

Cabine De Projection

 
Il s’agit d’une ancienne remise entièrement reconstruite. Plancher constitué d’un gittage en madriers de sapin 8x23 (un PHILIPS DP70 pèse 600/650 kg) recevant un plancher toujours en sapin de 23mm et un aggloméré de 18mm. Le tout recouvert d’un Tapiflex® collé. L’ensemble est posé sur un vide sanitaire ventilé, l’espace entre gittes est garni de laine de roche en vrac posée sur coffrage perdu en polyuréthane expansé.

Les murs sont constitués d’une ossature sapin de 145mm garnie de panneaux de laine de roche ROCKWOOL® collée sur kraft pare-vapeur. La face intérieure est en plaques de plâtre de 13mm avec moquette aiguilletée. L’extérieur est en panneaux OSB (Oriented Standard Board = aggloméré à grandes particules) avec feutre bitumé d’étanchéité agrafé, lattage de 20mm pour la ventilation et bardage en lambris sapin traités***. La couverture, sur le même principe, mais ici des panneaux préformés en PVC imitant la tuile mécanique du Nord.

Il a été installé un évier de récupération avec eau chaude/eau froide – c’est toujours utile et pratique !

L’électricité est installée sous goulottes PVC de façon à être toujours accessible et modifiable. Attention si vous faites du son magnétique : évitez dans la mesure du possible les tubes fluorescents, leurs transfos. d’alimentation ne font pas bon ménage avec les systèmes sonores magnétiques ! Privilégiez les éclairages modernes par LED à haut rendement et basse consommation.

La fenêtre de projection « géante » entre cabine et salle (2.50m !) est en glace de 10mm posée sur mousse plastique et parcloses clouées.

Enfin tout le câblage entre les projecteurs ainsi que l’équipement des lanternes a été assuré par ATEONE TECHNOLOGIES à Quincieux (69) et l’équipement sonore par MOTION PICTURE SOUNDTRACK RESTORATION CENTER à Mons (Belgique). La pièce maîtresse de la chaîne sonore est un processeur DOLBY® CP200 de récupération.
 
 

Notes

 
* Je fournis sur demande les coordonnées de cet établissement.
** Pour ceux qui voudraient une toile nacrée(pour faire comme les grands !), c’est possible mais en hauteur de 1.80m – calcul des dimensions hors-tout de l’écran ardu du fait d’une certaine élasticité du produit.
*** Une couche de lasure tous les deux ans pour l’entretien (et l’aspect du bois !).
 
 
   
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Updated 28-07-24