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En Conversation Avec François Carrin |
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Written by: Martial DASSONVILLE | Photos Frédéric ROLLAND & Daniel NAJBERG. |
Date:
16.05.2016 |
François CARRIN.
S’intéresser à l’écran large, au triple écran, avoir été projectionniste
et avoir fréquenté ces installations un peu hors normes, ce n’est pas
courant à l’ALICC. François nous explique donc son CINEMA PARADISIO personnel.
Martial DASSONVILLE:
Ton plus lointain souvenir cinématographique ou ton premier film…
François CARRIN:
Je vais avoir 70 printemps ce mois-ci mais curieusement je m’en
souviens comme si c’était hier ! Donc en Décembre 1950, découverte du
cinéma à Valenciennes avec CENDRILLON de Walt DISNEY au cinéma EDEN,
reconstruit en provisoire après la guerre mais confortable et bien
agencé – projection sans plongée ! La salle a disparu depuis. Le court
métrage qui accompagnait le film était le fameux LA VALLEE DES CASTORS
(BEAVER VALLEY) second film de la série C’EST LA VIE*. Nous sommes
entrés pendant une scène où les loutres dévalent une pente enneigée et
ma mère avait toujours en mémoire le fait que j’étais comme paralysé
d’étonnement de voir que cela « bougeait » !!! Ce n’était ni de la photo
ni de la diapo, c’était la vie sur l’écran. Le second souvenir marquant
mais que je ne pouvais pas expliquer vu mon très jeune âge, les fondus
simples et enchaînés TECHNICOLOR**.
M. D.
Suite à cette découverte qu’est-ce qui a motivé ton intérêt pour le
7ème Art…
F. C.
J’ai grandi jusqu’à 1956 à côté d’une ancienne salle de bal qui fut
transformée en cinéma en 1952 si mes souvenirs sont exacts. Mes parents,
très stricts sur le choix des films, ne toléraient pas que je vois un
polar, encore moins un film plus ou moins sensuel. A la rigueur, un western… Bref le principal de mes nourritures cinématographiques c’était
les DISNEY, les grands documentaires etc…
Aussi quand j’entrais dans une salle de cinéma c’était un peu un lieu
féerique et déjà à l’époque il m’arrivait souvent de me retourner vers
la petite fenêtre percée dans le mur du fond d’où sortait un faisceau
lumineux magique.
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Carrin
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Vue générale de la salle
M. D.
Ton premier projecteur…
F. C.
Mon père, médecin généraliste, avait un confrère équipé à l’époque
d’une Paillard-Bolex H8 et d’un Revere P85, un engin qui avait de la «
gueule ». Il est vrai qu’à l’époque on pratiquait le 8mm haut de gamme
plutôt dans les classes aisées que laborieuses. Ce projecteur m’avait
toujours fasciné et j’en ai acquis un dans les années 90, toujours en
état de marche. C’est d’ailleurs une machine que l’on trouve facilement
sur le marché des collectionneurs. Quant à moi il a fallu attendre Noël
1963 pour que je décide mon père à acheter du matériel 8mm, une caméra
Kodak Brownie à cellule incorporée et un projecteur Eumig P8 Phonomatic
(une belle m. !).
M. D.
Ta passion pour la technique cinématographique proprement dite…
F. C.
En septembre 1958 j’avais vu le CIRCARAMA W. DISNEY au pavillon US de
l’Expo de Bruxelles puis un an plus tard ce fut la découverte du
CINERAMA à l’EMPIRE avenue de Wagram. Le programme était composé du
travelogue LES SEPT MERVEILLES DU MONDE accompagné de la fameuse et
unique pub CINERAMA sur la Dauphine Renault. Un émerveillement ! Je
pense que c’est à cette occasion que mon goût pour la technique
cinématographique s’est développé ; mais la technique du triple écran,
c’était relativement inaccessible pour un petit provincial. Cultivant
l’adage « Faute de grives on mange des merles » je me consolais avec le
cinéma local et les quelques belles salles de Valenciennes. Jusqu’en
Février 1962*** avec la réouverture de l’EMPIRE reconstruit et la
découverte du 70mm au BERLITZ (LES REVOLTES DU BOUNTY) et au GEORGE V
(WEST SIDE STORY).
En sus je découvris le cousin soviétique, le KINOPANORAMA de
Lamotte-Picquet Grenelle. C’est à mon retour dans mes terres Ch’ti que
j’eus enfin l’occasion de visiter la cabine de ma salle locale et là le
premier miracle se produisit. Le directeur, voyant mon intérêt manifeste
pour la chose, me proposa tout simplement de monter en cabine chaque
fois que le désirai et même d’apprendre le métier de projectionniste –
autant demander à un aveugle s’il veut voir !!!
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Tout est allé très vite ensuite. J’ai mis tellement de conscience
professionnelle à apprendre la projection que j’en ai raté… mon bac !
Mais ceci est une autre histoire. S’en suivit une petite traversée du
désert en 1964-1965, le service militaire, puis le retour aux études de
métreuréconomiste et la reprise des projections à Quiévrechain.
Entre temps le 70mm avait débarqué à Valenciennes au cinéma NOVEAC****
dont le directeur, M. CANLER, était un aficionado de ce format. Et
j’ai eu la chance de voir des dizaines de films en pellicule large dans
cette salle jusqu’à sa fermeture courant 1987.
C’est alors qu’arriva le second miracle, la découverte des installations
techniques de l’EMPIRE-CINERAMA et de son gérant, en Mai 1967. On
passait GRAND PRIX et à l’entracte j’avisais ce Monsieur d’un abord très
affable. Devant mon intérêt il se fit un devoir de m’emmener voir la
cabine centrale, seule utilisée pour le 70mm. Et là, au hasard de la
conversation, j’appris qu’il était originaire de ma région, qu’il
connaissait la famille de mon père etc. etc… En guise de conclusion il
me serra la main et me dit "M. CARRIN, vous êtes le bienvenu à chaque
fois que vous le voulez dans ma salle".»***** Cerise sur le gâteau, dès
lors je ne payais plusl ’entrée ; appréciable à l’époque dans le cinéma
le plus cher de France !
M. D.
Pourquoi le format très large et pas le 35mm…
F.C.
Pas du tout ! J’apprécie aussi le 35mm. J’ai une splendide collection
d’Actus dans ce format, ainsi que des films-annonces et des pubs.
Malheureusement avec l’arrivée du numérique la source se tarit pour les
deux dernières catégories. Quant au 70mm on en trouve encore sur E-bay
mais c’est surtout aux USA et le prix du transport grève les budgets. De
plus les copies sont souvent virées et atteintes du sinistre syndrome du
vinaigre. En 35mm l’idéal est de trouver des copies modernes sur
support polyester et non virées, ou les anciennes en véritable
TECHNICOLOR, mais la plupart du temps elles sont très rayées.
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La
table de montage / rebobinage
M. D.
Ton installation personnelle…
F.C.
L’opportunité d’avoir un PHILIPS DP70 en 1995, récupéré à
Clermont-Ferrand, m’a donné l’idée d’aménager une salle dans mon
sous-sol, plus petite que l’actuelle, 4.30 x 4.30m et surtout hauteur
sous plafond de 2.15m. Cette première installation, plus ou moins
bancale, n’a jamais été complètement terminée. Ayant récupéré deux DP70
au FAMILIA de Cambrai en 2001, en meilleur état, j’ai dès lors gardé le
premier comme pièces de rechanges. J’ai déménagé en Décembre 2008 et
après un an de travaux divers j’ai reprise les travaux d’aménagement
d’une salle – Cf. le chapitre Conseils pour aménager votre propre salle.
M.D.
Tout cela représente un investissement conséquent…
F. C.
Hélas oui ! Je compte environ 26,000 Euros pour le gros œuvre, le
second œuvre et les finitions. Ne sont pas compris dans cette somme
les premiers investissements, achat projecteurs (3,500 €), amplis et
accessoires, et le système DOLBY : gratuit mais il a fallu aller le
chercher Outre-Manche !
Concernant le choix des PHILIPS DP70, je rappelle que ces engins sont
surnommés à bon escient « La Rolls des Projecteurs », qu’ils sont d’une
robustesse sans pareil et toujours d’attaque après 60 ans !
M. D.
Tes activités cinématographiques indépendamment de ta salle…
F. C.
Je suis membre de l’International CINERAMA Society, une amicale qui
s’efforce de perpétuer le triple écran à travers le monde. Nous sommes
peu nombreux, mon copain belge Jean Pierre VERSCHEURE en fait aussi
partie. Depuis 2006 j’ai intégré la Bradford
Widescreen Academy. Je suis
aussi membre de l’International 70mm Association, basée en Hollande et
qui fait la promotion de ce format. J’ai été consultant (bénévole) pour
le Widescreen Weekend de Bradford, dans le West Yorkshire, qui après des
problèmes financiers aura peut-être lieu de nouveau cette année du 15 au
18/10. C’est la seule salle équipée pour le triple écran – Cf. I.C. n°
62(12/2005) p. 26 & 27. Je le suis aussi pour le
TODD-AO Seminar de
Krnov (Cz. Republ.) et TODD-AO
Festival de Karlsruhe. Ces deux
dernières salles n’étant équipées qu’en 70mm et 35. Je collabore au site
www.in70mm.com basé à Copenhague. Et j’ai de nombreux correspondants
et amis dans le monde – Europe, USA, Australie, pour ne citer que
ceux-là.
J’ai participé à l’édition des bonus de la version restaurée
DVD/Blu-ray de HOW THE WEST WAS WON avec le court métrage CINERAMA
PARTOUT relatif à l’éphémère CINERAMA itinérant en France en
septembre/ octobre 1961. La même opération a été réalisée l’an dernier
pour la restauration du travelogue CINERAMA SEVEN WONDERS OF THE WORLD
(Les Sept Merveilles du Monde), toujours dans les bonus.
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François CARRIN aka Mister CINERAMA
M. D.
A combien estimes-tu le nombre de collectionneurs de 70mm en France…
F.C.
20 au grand maximum. Le chiffre exact est difficile à déterminer,
certains voulant rester dans l’anonymat le plus secret. Ils sont plus
nombreux à l’étranger, Allemagne et USA par exemple.
M. D.
Pour terminer, une anecdote…
F.C.
Courant 1967 la salle de Quiévrechain passe PARIS-BRULE-T-IL ? À
l’époque il était de tradition dans l’industrie nordiste de ne pas
travailler le lundi. D’où une séance le lundi soir quand il s’agissait
d’un grand film. Ici on avait déjà passé le film depuis 10 jours et le
soir en pleine semaine l’équipe était fatiguée. Bref dans la seconde
partie(le film dure près de 3h) on a interverti le passage de 2 bobines.
On s’en est aperçu au rebobinage avec numéros amorces/boîtes.Et bien
aucun spectateur n’a réclamé ou rouspété ! A mon avis ils devaient
dormir comme nous !!!
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Notes
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François
et une bouteille du vignoble de Francis F. COPPOLA, cadeau de son copain
Paul RAYTON, chef-op. à l’American Cinematheque de Los Angeles
* Ce film a obtenu à l’époque l’Oscar du meilleur court métrage. Cette
célèbre série de W. DISNEY avait pour titre original TRUE-LIFE
ADVENTURES. Par la suite DESERT VIVANT en sera l’un des plus connus.
** J’apprendrai bien plus tard que l’on appelait cela un fondu chimique,
particulier au TECHNICOLOR.
*** Les hasards de la vie m’ont fait connaître et surtout apprécier les
salles parisiennes de 1961 à 1963.
**** Equipé de deux projecteurs allemands FH 99 – de très belles
machines !
***** Albert DUBOIS, c’est son nom, dernier directeur de salle de
l’EMPIRE-CINERAMA, repose en paix à BEUVRY-LA-FORET, village entre
ORCHIES(le berceau de ma famille) et STAMAND-LES-EAUX
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Les deux questions que l’on me pose le plus souvent à propos de mon
installation
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Le
logo du documentaire SHELLARAMA en relief François et son DP 70 droit
Pourquoi l’écran est-il si peu incurvé?
Le véritable écran CINERAMA était incurvé à 146 degrés avec 3
projecteurs dont les axes
étaient(en théorie) parfaitement perpendiculaires aux 3 écrans
élémentaires. Dans ma réalisation il s’agit de rappeler le CINERAMA
simplifié avec usage d’un seul projecteur central d’une part (70mm Super
CINERAMA), et d’autre part de combiner le tout avec une petite largeur
d’écran(4.34 m. de corde), elle-même tributaire d’une largeur de salle
de 5.40 m. Les problèmes de distorsions, déjà présents dans les grandes
salles, auraient été accentués ici. De plus avec une projection à courte
distance en 70mm l’étalement correct et régulier de la lumière sur
l’écran est un peu critique. Qu’en aurait-il été avec une curvature de
146 degrés ? D’où ce compromis qui reflète bien l’ambiance « salle
CINERAMA » de l’époque (postérieure au début des années 60). D’ailleurs
certains visiteurs ont appelé cela écran délicieusement incurvé !
Pourquoi toutes les inscriptions sont-elles dans la langue de
Shakespeare?
1 – L’écran large (Widescreen) est avant tout une grande aventure
anglo-saxonne – question
de style !
2 – La plupart de mes visiteurs sont étrangers, ne parlant pas un mot de
Français, mais pratiquant tous l’Anglais avec une aisance qui devrait
nous faire rougir, nous les Français particulièrement chauvins – Donc
vous avez tout compris !!!
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Conseils Pour Amenager Votre Propre Salle De
Cinema
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La face Avant
du DOLBY CP200
Dans le numéro 87 (pages 24 à 29) le président Daniel NAJBERG nous livre
quelques ré-flexions sur l’aménagement de sa salle personnelle. Comme je
viens de terminer la mienne, mais dans ce cas en partant d’un bâtiment
au stade du gros œuvre brut (en l’occurrence mon garage), voici quelques
conseils/directives qui pourront vous inspirer utilement si vous voulez
suivre la même voie.
SALLE
Les murs porteurs ont l’épaisseur d’une brique (22 cm) et la cloison
séparative du cellier qui lui donne accès est en carreaux de plâtre
pleins(7 cm). Pour conjuguer une bonne isolation thermique avec
l’acoustique toutes les parois sont doublées en LABELROCK de chez
ROCKWOOL® : complexe plaque de plâtre 10mm avec laine de roche
semi-rigide 40mm, le tout posé par plots de mortier-colle. Les
ouvertures d’origine des deux portes de garage ont été préservées et
obturées par une ossature en sapin doublée extérieurement d’une feuille
de contreplaqué rainuré imitant le revêtement des portes et
intérieurement par une plaque de plâtre de 10mm. L’espace entre les deux
est rempli de laine de roche semi-rigide de 140mm. De cette façon il
sera toujours possible plus tard de réutiliser ce local comme garage.
Le plafond (existant) est en plaques de plâtre de 13mm clouées sous
charpente et isolé par laine de verre déroulée.
Murs et plafond sont recouverts de moquette aiguilletée collée,
anthracite pour le plafond et noir/rouge pour les murs .
Le sol existant est un carrelage type Granito (du luxe pour un garage !)
posé sur chape isolée. Après ragréage il est recouvert d’une moquette
classique rouge vif. La partie arrière forme une estrade confectionnée
en chevrons et panneaux de particules, surélevée de 25 cm, habillée de
moquette noire et supportant 6 fauteuils de cinéma récupérés en
Normandie. Pour optimiser l’isolation acoustique les panneaux des portes
intérieures sont recouverts de moquette, ce qui améliore aussi
l’esthétique et contribue à l’ambiance feutrée.
Le chauffage central de l’habitation étant assuré par une pompe à
chaleur alimentant un circuit en serpentin sous le carrelage, une
dérivation alimente deux radiateurs classiques légèrement
surdimensionnés. De cette façon ils ne sont jamais «brûlants » mais
tièdes et dispensent une chaleur très douce.
L’électricité a été complètement refaite et l’éclairage est constitué de
deux rampes de 4 halogènes commandées par variateur électronique à
allumage/extinction réglable depuis la cabine.
L’écran, 4.34m x 2.05m utiles, a été fabriqué par la maison ELZA TISSUS
à Herseaux (Belgique)* qui a l’habitude de travailler pour des
collectionneurs de cinéma. Monté comme un écran professionnel (tendu par
œillets sur un cadre périphérique), il est constitué d’une simple toile
de drap blanc**. Niveau transonore suffisant et bonne
luminosité(projection avec une lampe Xénon 1000 W).
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Cabine De Projection
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Il s’agit d’une ancienne remise entièrement reconstruite. Plancher
constitué d’un gittage en madriers de sapin 8x23 (un PHILIPS DP70 pèse
600/650 kg) recevant un plancher toujours en sapin de 23mm et un
aggloméré de 18mm. Le tout recouvert d’un Tapiflex® collé. L’ensemble
est posé sur un vide sanitaire ventilé, l’espace entre gittes est garni
de laine de roche en vrac posée sur coffrage perdu en polyuréthane
expansé.
Les murs sont constitués d’une ossature sapin de 145mm garnie de
panneaux de laine de roche ROCKWOOL® collée sur kraft pare-vapeur. La
face intérieure est en plaques de plâtre de 13mm avec moquette
aiguilletée. L’extérieur est en panneaux OSB (Oriented Standard Board =
aggloméré à grandes particules) avec feutre bitumé d’étanchéité agrafé,
lattage de 20mm pour la ventilation et bardage en lambris sapin
traités***. La couverture, sur le même principe, mais ici des panneaux
préformés en PVC imitant la tuile mécanique du Nord.
Il a été installé un évier de récupération avec eau chaude/eau froide –
c’est toujours utile et pratique !
L’électricité est installée sous goulottes PVC de façon à être toujours
accessible et modifiable. Attention si vous faites du son magnétique :
évitez dans la mesure du possible les tubes fluorescents, leurs
transfos. d’alimentation ne font pas bon ménage avec les systèmes
sonores magnétiques ! Privilégiez les éclairages modernes par LED à haut
rendement et basse consommation.
La fenêtre de projection « géante » entre cabine et salle (2.50m !) est
en glace de 10mm posée sur mousse plastique et parcloses clouées.
Enfin tout le câblage entre les projecteurs ainsi que l’équipement des
lanternes a été assuré par ATEONE TECHNOLOGIES à Quincieux (69) et
l’équipement sonore par MOTION PICTURE SOUNDTRACK RESTORATION CENTER à
Mons (Belgique). La pièce maîtresse de la chaîne sonore est un
processeur DOLBY® CP200 de récupération.
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Notes
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* Je fournis sur demande les coordonnées de cet établissement.
** Pour ceux qui voudraient une toile nacrée(pour faire comme les grands
!), c’est possible mais en hauteur de 1.80m – calcul des dimensions
hors-tout de l’écran ardu du fait d’une certaine élasticité du produit.
*** Une couche de lasure tous les deux ans pour l’entretien (et l’aspect
du bois !).
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28-07-24 |
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